Entre clubs transformés en enfers électroniques, domaines maquillés en bals macabres et expériences immersives dignes d’un film d’horreur, la nuit promet plus que des bonbons.
FCKG Halloween au Zénith
C’est la soirée mastodonte : un Zénith transformé en cathédrale techno sous stroboscopes et fumigènes. Sept DJs enchaînent bangers et basses qui cognent jusqu’au petit matin. Les déguisements ne sont pas une option, ils sont la règle tacite de survie. Le public vient pour transpirer, hurler et danser comme dans un rave de fin du monde. La scénographie fait plus penser à un cauchemar industriel qu’à un simple club. Si tu veux du XXL assumé, tu es à la bonne adresse.
Voir cette publication sur Instagram
Marché des Horreurs au Lez
Ce n’est pas une boîte mais un village nocturne décoré façon apocalypse colorée. On déambule entre stands, food trucks, maquillages express et musiques étranges. Les créatures croisent les badauds, les sorcières trinquent avec les zombies urbains. C’est fluide, vivant, parfait pour commencer la soirée ou flâner entre deux plans. Aucun code vestimentaire mais beaucoup d’occasions d’être photographié. L’ambiance est plus immersive que clubbing, sans perdre l’énergie collective.
Voir cette publication sur Instagram
Halloween au Rockstore
En plein centre, l’enseigne au néon rouge se grime en antre obscur pour une nuit sans retour. Le dancefloor devient un repaire de vampires, punks ressuscités, sorcières gothiques et clubbers possédés dans le cadre du festival Dernier Cri. La musique voyage entre électro vénéneuse, rock sous amphétamines et classiques remixés façon cimetière chic. Tu peux débarquer masqué, fardé ou spectral, personne ne te demandera d’explication. Le bar sert autant de potions alcoolisées que d’alibis visuels. La soirée se vit comme un tunnel nocturne qui ne laisse pas indemne.
Voir cette publication sur Instagram
Prison Island version “Horror Story”
Une fausse prison devient le théâtre d’une nuit peu rassurante, entre couloirs sombres et gardiens instables. On évolue par équipes dans des cellules et des zones hostiles où rien ne semble fiable. Des acteurs rôdent et surgissent comme des détenus fantômes ou matons dérangés. L’ambiance est oppressante et ludique à la fois, façon parc d’horreur interactif. Le lieu déconseille l’entrée aux âmes sensibles et aux mineurs. C’est une expérience entre escape, performance et crise cardiaque contrôlée.
Voir cette publication sur Instagram
Soirée Halloween au Mas du cheval
À dix minutes de Montpellier, ce domaine se pare d’un glamour obscur et de lumières rouge sang. On peut y dîner avant de dériver sur un dancefloor feutré entouré de vignes et de bougies. Les looks oscillent entre élégance macabre et style cabaret de l’enfer. C’est l’adresse parfaite pour ceux qui veulent éviter la foule compacte tout en gardant du style. Entre vin, musique et atmosphère soignée, l’ambiance frôle le bal maudit version premium. Ici, Halloween a sorti ses talons et son rouge à lèvres noir.
Voir cette publication sur Instagram
Murder Party à Bikube
Ici, pas de danse, mais des intrigues et des frissons scénarisés façon Cluedo maléfique. Tu incarnes un personnage dans une enquête tordue, entouré de suspects plus inquiétants les uns que les autres. L’ambiance est tamisée, presque théâtrale, avec des rebondissements qui tombent comme des couperets. Impossible de rester passif : tout le monde joue, ment, accuse ou complote. Les costumes deviennent des accessoires d’identité plus que de fête. Une soirée pour ceux qui préfèrent tuer l’ennui plutôt que le dancefloor.
The Grand Asylum
Imagine un vieil asile transformé en escape game cauchemardesque ouvert toute la nuit. Des acteurs surgissent, des portes claquent, tu veux fuir mais tu dois réfléchir. L’ambiance te met en PLS dès l’accueil, et le décor semble trop crédible pour être fictif. On vit la peur en équipe et on ressort comme une secte de survivants. Les sessions vont jusqu’à 6h du matin pour les plus téméraires. Là-bas, personne ne t’entend crier… sauf les autres joueurs.
Voir cette publication sur Instagram

